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À l'origine de Bobines et Ricochets, il y a des entretiens, beaucoup d'entretiens, avec des personnes de tous milieux et de tous âges. Il y a aussi la coréalisation du film documentaire Chroniques africoles  tourné en Éthiopie, au Burkina Faso et en Guinée : sans partager leur langue ni leur vie, nous avons créé un contact authentique et franc avec les femmes, les hommes, les vieux du village… Tout en nourrissant ma passion pour l'interview, je me suis perfectionnée dans les techniques de tournage et de montage. Je n’ai cessé de les pratiquer depuis.

 

À mon retour d'Afrique, j'ai réalisé que je connaissais mieux la vie d’Aba Tadele, villageois du nord de l’Éthiopie, que celle de mes propres grands-parents ! J'ai alors entrepris de mener des entretiens sur ma famille, autour de deux de mes grands-parents. Au-delà de la découverte d'histoires captivantes, ce fut l'occasion de rassembler famille et amis, proches ou plus lointains, autour de souvenirs communs.

En parallèle, je menais une vie professionnelle au sein d'un réseau associatif en charge de soutenir des projets d'installation en agriculture biologique. Parmi nos outils de communication, la vidéo permettait de valoriser les projets auprès de nos partenaires, notamment en montrant les réalisations et en mettant en avant la parole des participants.

Ainsi, l'idée de Bobines et Ricochets est-elle née d'un intérêt sincère pour les histoires, grandes et petites, des personnes et des structures que je rencontre et de ma passion pour la création vidéo. J’ai voulu mettre mes compétences dans ce domaine à la disposition de celles et ceux qui souhaitent vivre cette expérience enrichissante qu'est celle de découvrir ou partager son histoire.

​​​— Valérie Rosenwald, fondatrice de Bobines et Ricochets

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